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L’Altimètre : Livre de Christophe Barberot, Editions du Panthéon. 2016

1 décembre 2016 / Aviation


Pilote de ligne Christophe Barberot raconte ses souvenirs. Ce livre est riche en anecdotes.

Il aurait aussi pu être écrit par un journaliste amateur de sensationnel, si l’on ne lit que la présentation de l’ouvrage en 4° de couverture :

 

« Si nous n’avions pas survécu, les enquêteurs auraient-ils assimilé que mes instruments de pilotage et de conduite moteurs étaient totalement illisibles du fait des turbulences ? Auraient-ils pris conscience que l’équipage était en état de choc ? Auraient-ils tenu compte de ce qui est le plus important dans le traitement de cet événement, à savoir les facteurs humains ? Personnellement, je ne le pense pas. »Le 1er juin 2009, l’Airbus A330 reliant Rio à Paris disparaît des écrans radars avant de sombrer dans l’Atlantique. Faisant 228 victimes et ne laissant aucun survivant, il s’agit de l’accident le plus meurtrier de l’histoire d’Air France.
Si certaines causes du crash sont officiellement connues, le procès permettant d’établir les responsabilités pénales n’a pas encore eu lieu. Désireux de partager son avis, Christophe Barberot nous livre une version très personnelle de cette terrible catastrophe aérienne.Lors d’un vol en Tanzanie en février 2012, Christophe Barberot et son copilote perdent brutalement le contrôle de leur avion. Bien qu’ils aient frôlé la mort, aucun compte rendu avec les pilotes ne sera fait. Face à ce sujet devenu tabou, l’auteur met en évidence le nombre de similitudes troublantes entre son accident et celui de l’AF 447 et refuse l’omerta de rigueur dans le milieu aéronautique. Que s’est-il vraiment passé ?

 

Mais en fait le contenu est très intéressant et les parties « accrocheuses » plutôt rares.

Donc un très intéressant témoignage.

PS) Ne jamais confondre incident et accident ! 

Michel Polacco

 

« Si nous n’avions pas survécu, les enquêteurs auraient-ils assimilé que mes instruments de pilotage et de conduite moteurs étaient totalement illisibles du fait des turbulences ? Auraient-ils pris conscience que l’équipage était en état de choc ? Auraient-ils tenu compte de ce qui est le plus important dans le traitement de cet événement, à savoir les facteurs humains ? Personnellement, je ne le pense pas. » Le 1er juin 2009, l’Airbus A330 reliant Rio à Paris disparaît des écrans radars avant de sombrer dans l’Atlantique. Faisant 228 victimes et ne laissant aucun survivant, il s’agit de l’accident le plus meurtrier de l’histoire d’Air France. Si certaines causes du crash sont officiellement connues, le procès permettant d’établir les responsabilités n’a pas encore eu lieu. Désireux de partager son avis, Christophe Barberot nous livre une version très personnelle de cette terrible catastrophe aérienne. Lors d’un vol en Tanzanie en février 2012, Christophe Barberot et son copilote perdent brutalement le contrôle de leur avion. Bien qu’ils aient frôlé la mort, aucun compte rendu avec les pilotes ne sera fait. Face à ce sujet devenu tabou, l’auteur met en évidence le nombre de similitudes troublantes entre son accident et celui de l’AF 447 et refuse l’omerta de rigueur dans le milieu aéronautique. Que s’est-il vraiment passé ?

« Si nous n’avions pas survécu, les enquêteurs auraient-ils assimilé que mes instruments de pilotage et de conduite moteurs étaient totalement illisibles du fait des turbulences ? Auraient-ils pris conscience que l’équipage était en état de choc ? Auraient-ils tenu compte de ce qui est le plus important dans le traitement de cet événement, à savoir les facteurs humains ? Personnellement, je ne le pense pas. »
Le 1er juin 2009, l’Airbus A330 reliant Rio à Paris disparaît des écrans radars avant de sombrer dans l’Atlantique. Faisant 228 victimes et ne laissant aucun survivant, il s’agit de l’accident le plus meurtrier de l’histoire d’Air France.
Si certaines causes du crash sont officiellement connues, le procès permettant d’établir les responsabilités n’a pas encore eu lieu. Désireux de partager son avis, Christophe Barberot nous livre une version très personnelle de cette terrible catastrophe aérienne.
Lors d’un vol en Tanzanie en février 2012, Christophe Barberot et son copilote perdent brutalement le contrôle de leur avion. Bien qu’ils aient frôlé la mort, aucun compte rendu avec les pilotes ne sera fait. Face à ce sujet devenu tabou, l’auteur met en évidence le nombre de similitudes troublantes entre son accident et celui de l’AF 447 et refuse l’omerta de rigueur dans le milieu aéronautique. Que s’est-il vraiment passé ?